Des avancées et un excès de pouvoir !

Le conseil municipal du 24 mai dernier aura été plein de surprises. De bonnes et de moins bonnes. Analyse complète dans cet article !

Commençons par les moins bonnes

Il est acté que la municipalité de Gérard Tardy est en conflit avec au moins deux commerçants de la commune, à savoir la boulangerie Goktekin et Frédéric Cuoq de la boulangerie le P’tit Tony ce qui est pour le moins problématique. Si pour le second l’affaire qui est devant la justice est toujours en cours ( un premier jugement a donné raison au boulanger – la décision en appel sera connue le 30 Juin ), pour le premier les avocats de la commune et du boulanger sont en contact pour tenter de trouver une solution amiable au conflit opposant les parties. A ce jour la boulangerie Goktekin fonctionne toujours, et pour le Maire, cela provoque un préjudice financier pour la boulangerie du Totem qui s’est récemment installée. Il a donc souhaité faire voter la prise en charge d’une partie des travaux réalisés à hauteur de 36 000 euros pour aider le couple, qui d’après lui, est « sur le point de fermer boutique ». Sur cette délibération j’ai préféré m’abstenir et en voici les raisons. Tout d’abord parce que la boulangerie du Totem bénéficie, et ce jusqu’à la cessation d’activité du boulanger Goktekin, d’une exonération de loyer équivalent à 600 euros par mois. S’il est normal de soutenir un commerçant lorsqu’il fait le choix de s’installer dans notre commune cela ne peut pas se faire au détriment des règles de la libre concurrence qui doivent continuer à s’appliquer. Ainsi pourquoi, en plus d’une exonération de loyer, attribuer une prise en charge des travaux réalisés alors que par exemple, le P’tit Tony, n’a jamais bénéficié de tels avantages ? Il est important de veiller à la bonne utilisation des deniers publics et dans ce cadre l’équité doit être de mise. Par ailleurs il est important de souligner qu’à aucun moment Monsieur Cuoq n’a indiqué publiquement fermer définitivement son commerce. Contrairement à ce que fait croire le maire on ne peut dès lors pas lui reprocher d’ouvrir sa boutique lorsqu’il le souhaite et ce d’autant plus pour vendre du chocolat ce qui ne le met pas en concurrence avec la boulangerie du Totem qui a seulement une activité de boulangerie-pâtisserie.

Le jugement en appel du procès entre le P’tit Tony et la commune aura lieu le 30 juin prochain

Toujours du côté des mauvaises nouvelles le maire a indiqué en fin de séance ne pas vouloir répondre à ma question orale méprisant une nouvelle fois la loi et notamment l’article L2121-19 du CGCT. Une honteuse reculade qui est sans doute due au fait qu’il est toujours très en difficulté pour y répondre de façon argumentée et sans utiliser l’invective et l’attaque personnelle obligeant bien souvent les élus d’opposition à quitter le conseil municipal pour marquer leur désapprobation face à un tel comportement inapproprié. Après avoir demandé à ses co-listiers de quitter le conseil au moment des questions orales ( revoir ici ) il a donc décidé d’user d’une autre « stratégie » qui heureusement ne lui est pas permis par la Loi. J’ai donc saisi dès le 25 mai par courrier recommandé, Madame la Préfète de la Loire Catherine Seguin afin qu’elle puisse à nouveau rappeler les droits de l’opposition à Gérard Tardy. A ce sujet le ministre de l’intérieur a d’ailleurs rappelé à plusieurs reprises que le fait de ne pas répondre « pouvait être considéré comme un excès de pouvoir devant le tribunal administratif ».

Poursuivons par les bonnes nouvelles

Les élus d’opposition ( Libres d’agir et Lorette Citoyenne ) demandaient depuis maintenant plusieurs années une adaptation du règlement du « pôle jeunesse » particulièrement strict notamment en cas d’absence inopinée ou encore pour tout ce qui concernait les règlements ( payés à l’avance et par trimestre ). Plusieurs familles Lorettoises avaient indiqué éprouver des difficultés à régler des montants qui pouvaient atteindre jusqu’à 800 euros pour une famille avec trois enfants. Après de longues minutes de débat, le vote du règlement du pôle jeunesse a été reporté au prochain conseil municipal pour envisager un paiement non plus au trimestre mais mensuellement comme proposé par les élus d’opposition. Si Madame Bonnard, adjointe en charge de la jeunesse, semblait partager cette position, le maire quant à lui n’a pas voulu céder durant le conseil municipal et a préféré reporter le vote. Il s’agit toutefois d’une première victoire permise grâce à la mobilisation des oppositions. Nous ne lâcherons rien.

Le paiement mensuel bientôt d’actualité au Pôle Jeunesse ?

Autre bonne nouvelle, à la demande de l’opposition, les bénéficiaires du CCAS pourront obtenir des entrées gratuites à la baignade naturelle même si pour Gérard Tardy « cela ne les intéressera pas ». Une pensée pleine de stéréotype qui voudrait que lorsque l’on est en situation de vulnérabilité on aurait pas l’envie de se changer les idées en sortant pour une activité de loisirs.

Pour conclure l’ensemble des élus de l’opposition ont noté l’attitude plus apaisée du maire ce qui est particulièrement inhabituel. Cela a, pour une fois, permis au conseil municipal de se dérouler dans une atmosphère plus sereine qu’à l’accoutumée. On ne peut que s’en féliciter car jamais les questions de l’opposition n’ont eu pour but de chercher la polémique mais au contraire, elles se sont toujours voulu constructives et n’ont jamais mérité que les réponses de Gérard Tardy se fassent uniquement sur le ton de l’invective et de l’attaque personnelle, ce qui est pourtant le cas depuis le début du mandat. Au fil des mois se ferait-il à l’idée qu’il n’aura d’autre choix que de s’accommoder de la présence d’une opposition qu’il n’avait pas eu lors de son dernier mandat ? Pourtant ne s’agit-il pas, tout simplement, de la « normalité » dans une démocratie locale qui fonctionne ? Ou bien cela présage-t-il le passage de flambeau pour un premier magistrat de plus en plus marqué physiquement et qui a d’importantes difficultés à donner le change dans la confrontation d’idées en conseil municipal sans avoir recours systématiquement à des attaques ad-hominem qui ont sérieusement atteint la solidité de sa liste, marquée par plusieurs démissions et aujourd’hui avec des co-listiers ( Anne-Marie Pintacorona, Patrick Ricci, Patricia Bregain ou encore Gérard Gamon ( délégué aux finances et personnel ) très régulièrement absents et qui ne donnent plus aucun pouvoir.

Gérard Tardy, un maire qui perd pied

Alors qu’il avait affirmé lors du conseil municipal du 13 avril que depuis qu’il était maire de la commune jamais il n’avait réalisé d’emprunt à taux variable, Gérard Tardy était obligé, quelques minutes plus tard, de faire machine arrière devant les preuves apportées par les élus d’opposition.

Découvrez la vidéo de cette séquence ⤵️

Mais plutôt que de faire profil bas, ce dernier ose une nouvelle fois, attaquer les élus d’opposition dans un courrier adressé aux membres du conseil municipal, au Secrétaire Général de la Préfecture et aux avocates (sic) de la commune. Dans ce « torchon » dont vous pourrez prendre connaissance ci-dessous il fait non seulement preuve d’une extrême mauvaise foi, en réécrivant l’histoire à son avantage, mais surtout il brandit un « mensonge » inventé de toute pièce pour justifier sa décision incompréhensible de Mai 2020 (re sic) de retirer une délégation donnée à un élu 48h plus tôt. Certains membres d’Alliance pour Lorette l’ont d’ailleurs bien compris puisque depuis ils ont démissionné, alors que d’autres, dont l’éthique semble être mise de côté, ont apporté un soutien indéfectible au maire.

De jours en jours la situation se complexifie. Depuis maintenant plusieurs semaines le maire ne répond plus aux questions écrites de l’opposition ( soutien à l’Ukraine, accueil de la mission locale, etc…) et lorsqu’il prend la parole c’est uniquement pour être dans la provocation ou ressasser des éléments passés, qui plus est, n’ont rien à faire dans le débat public.

Vous êtes nombreux à nous demander comment malgré plusieurs rappels de Madame la Préfète cela peut continuer ainsi. Nous n’avons pas de réponse sauf peut être vous dire que le maire n’a aujourd’hui plus rien à perdre et qu’il se sent tout puissant. Pourtant il n’en ai rien.

Vous êtes nombreux à vouloir qu’un tel comportement cesse et à nous inciter à déposer plainte pour que la justice fasse son travail.

Ce n’est pas notre but et c’est pour cela que depuis le début du mandat nous n’avons jamais eu recours, contrairement à Gérard Tardy, a des dépôts de plainte alors qu’à plusieurs reprises, et ce, dès le début de son mandat, le maire a dépassé les limites de l’acceptable. Nous avons préféré alerter les services de la Préfecture ou encore les différentes institutions pour faire respecter nos droits (CNIL, CADA, Défenseur des droits ) qui nous ont toujours donné raison.

Toutefois il est clair que cela paraît aujourd’hui insuffisant. Il n’est plus possible de se laisser attaquer sans cesse pour tout et n’importe quoi, sans argumentation et de façon totalement gratuite. Attaquer un élu sur le terrain de sa vie professionnelle, de sa vie privée, de sa situation familiale, ou encore lui prêter des sobriquets est parfaitement indigne d’un élu de la république sauf du point de vue de Gérard Tardy qui est prêt à tout, même aux coups les plus bas et délétères, pour conserver son fauteuil de maire.

Sa réputation en est à tout jamais entaché…

J’en profite aussi pour remercier l’ensemble des personnes qui me soutiennent au quotidien, Lorettois ou citoyens de la vallée du gier portant de l’intérêt à la liberté d’expression et à la démocratie locale.

Merci également à l’ensemble des associations locales, commerçants, artisans, entrepreneurs de la commune pour leur accueil toujours bienveillant.

Merci enfin aux institutionnels et élus locaux qui m’ont déjà apporté leur soutien, profondément choqués par les procédés du maire de Lorette à mon encontre.

C’est pour tout cela que plus que nous ne lâcherons rien pour qu’à Lorette la démocratie revienne enfin et afin que l’équipe majoritaire qui cautionne toutes les frasques de sa tête de liste s’effondre et tombe à tout jamais dans l’oubli.

Par la jeunesse vient la promesse d’un avenir meilleur ! Il importe peu de détester le passé, mais beaucoup de préparer l’avenir. Puisse la nouvelle jeunesse, qui déjà pousse la nôtre, valoir mieux que nous-mêmes et se former une âme virile prête aux plus dures épreuves: Et rebus spectata. Une éducation intellectuelle (1877) de Lucien Arréat

Sécurité : la réalité des faits face à la désinformation de Gérard Tardy

En réponse aux multiples questions posées depuis maintenant plusieurs mois au sujet du renforcement de notre police municipale notamment suite aux problèmes de sécurité survenus sur la commune, Gérard Tardy affirme sans cesse que « le recrutement d’un 3e policier municipal est rendu très difficile en raison de la crise sanitaire et notamment de la fermeture de l’école de Police Municipale de Montpellier durant cette période ».

Sur cet argument, contacté par mes soins, l’école de la Police Municipale de Montpellier me confirme qu’elle n’a jamais été fermée pendant la crise du COVID, hormis la période liée au 1er confinement. « Les promotions qui étaient en cours à cette période ont effectivement pris un peu de retard ( quelques semaines ) mais heureusement tout est rentré dans l’ordre. D’ailleurs les rythmes d’incorporation ont repris à un rythme normal depuis Septembre 2020 et plusieurs sont déjà terminées.

Avant de poursuivre il est important de rappeler qu’il existe 3 types de recrutement possible :

– Recrutement de personnels détenteur du concours;

– Recrutement de personnels issus du détachement (Police Nationale et Gendarmerie) ou intégration directe;

– Recrutement de personnel par voie de mutation.

La formation initiale des agents de police municipale à l’école de Montpellier n’est nécessaire que pour les personnels qui viennent d’être recrutés par une commune avec le concours (formation de 76 jours à Montpellier + 44 jours en stage pratique). Soit 120 jours.

Pour les agents issus du détachement (Police nationale et Gendarmerie), la formation à Montpellier est réduite à 3 mois.

Enfin les agents recrutés par voie de mutation ne sont pas concernés par cette formation qu’ils ont déjà effectuée en début de carrière.

Ce qu’il est important de noter c’est que le maire Gérard Tardy cherche à recruter un 3ème policier municipal mais se refuse à recruter des agents titulaires du concours (1 an d’expérience minimum), ou des agents venant des forces étatisées (Gendarme ou Policier). De ce fait, les agents qu’il cherche ne nécessitent aucune formation initiale à Montpellier. Les réponses qu’il a donc pu faire sont donc à chaque fois hors sujet. A moins, qu’il ait enfin changé d’avis devant l’échec cuisant qu’il subit sur ce sujet depuis maintenant plusieurs années.

Dans sa réponse à ma question orale de Décembre, il indique également qu’une formation initiale est onéreuse, mais comme vu précédemment, les agents en mutation n’ont pas besoin de formation initiale. Donc, aucune charge supplémentaire. Par contre, tous les agents de Police municipal sont concernés évidemment par la Formation Continue Obligatoire de formation (FCO) qui est de 10 jours en 5 ans pour un PM.

S’il est vrai, que la crise sanitaire a pu entraîner quelques dysfonctionnements au niveau du CNFPT pour la mise en place des FCO et que beaucoup d’agents sont en retard, Gérard Tardy confond, malgré plus de 30 ans d’expérience de maire, la formation initiale et les formations continues. Cela n’a aucun impact sur le recrutement.

Par ailleurs il faut savoir que depuis 2021 et la promulgation de la loi sur la sécurité globale, les agents titulaires du concours et/ou issus du détachement qui effectuent une FIA ( formation initiale d’application ) doivent 3 années à leur commune à compter de leur date de titularisation. article L.412-57 du Code des communes

L’augmentation des recrutements de policiers municipaux par les communes engendre plus d’offres que de demandes. De ce fait, les agents, qu’ils soient issus du recrutement, du détachement ou en mutation, ont le choix. Mais sur quels critères se basent-ils pour postuler ?

– Critère géographique : La situation géographique de la commune de Lorette n’est apparemment pas un problème car les communes avoisinantes arrivent à stabiliser leur effectif souhaité, voire à recruter : Genilac, Saint-Martin-la-Plaine, Saint-Paul-en-Jarez, La Grand-Croix, Saint-Chamond.

– Critère financier

– Critère de travail en équipe

– Critère de l’armement

– Critère d’intérêt du poste : Comme tout salarié, l’épanouissement passe par l’intérêt des missions confiées. Les missions chronophages de surveillance passives ne sont pas attrayantes. Or, à Lorette, elles sont nombreuses : surveillance du bassin de baignade tout l’été, surveillance des parkings pour les spectacles, faire traverser les écoliers, et même d’assurer le rôle de facteur en réalisant la distribution de courriers aux élus de la commune. Tout cela est rédhibitoire lorsque les agents se renseignent. Une solution simple existe pourtant : redéfinir les missions.

– Critère d’instabilité politique : Les tensions répétées dans la commune (Arrêté de baignade, buzz sur l’affichage « Ramadan sans bruit » et « La république se vit à visage découvert ») créent une mauvaise réputation. Les agents craignent de devoir être confrontés à ces problématiques. L’agent de Police Municipale exerce les pouvoirs de police du maire. Dans une commune de taille moyenne, il est en relation régulière avec lui ou son élu à la sécurité. La réputation joue donc un rôle primordiale, le contexte particulier et le caractère connu de Gérard Tardy font clairement « peur » a beaucoup de postulants potentiels. Le milieu de la police municipale est un petit monde et les échos vont très vite.

Voilà la raison principale pour laquelle LORETTE n’arrive pas à trouver de candidats contrairement aux autres communes.

Aux questions posées concernant les problèmes de recrutement du Policier Municipal, le Maire met en cause la crise sanitaire et les retards pris dans la formation par le CNFPT. Cette réponse ne correspond en aucun point à la réalité. De plus, la volonté de monter l’effectif à 3 agents date d’avant la crise sanitaire et fort est de constater qu’il n’y arrive pas. A ce sujet, d’après mes informations, les deux agents actuels ont déjà fait le vœu de quitter la commune et l’un d’entre eux serait même absent depuis maintenant plusieurs semaines.

Les vraies raisons résident dans l’obstination depuis plusieurs années à ne vouloir recruter qu’un seul profil de candidat alors que la richesse d’un effectif vient de la diversité. Le contexte local engendré par la réputation du Maire et ses « buzz » imprévisibles sont connus dans le microcosme des Policiers Municipaux. Même si notre commune dispose d’atouts sérieux, la peur de devoir être confronté à ces situations de tensions régulières refroidi les candidats potentiels.

Outre cet aspect, la politique actuelle, bien qu’étant annoncée sécuritaire, est inadaptée dans les missions attribuées. Les missions chronophages dîtes statiques empiètent bien trop sur les actions préventives et répressives de police qui doivent être mises en œuvre.

La remise en question dans l’échec n’étant pas l’apanage de Gérard Tardy, il préfère donner de fausses raisons pour se dédouaner. « C’est pas moi, c’est l’autre ( l’élu d’opposition, le gouvernement, le journaliste, la Préfète…) en fonction du sujet. Lorsque l’on est maire il faut pourtant savoir prendre sa part de responsabilité.

Moi, maire de Lorette, je renforcerai la Police Municipale en prenant en compte l’ensemble des critères que je viens d’évoquer sans jamais oublier que la police doit jouer un rôle de prévention incontournable.
Moi, maire de Lorette, la commune ne sera plus seule et pourra compter sur les villes voisines pour renforcer sa politique sécuritaire avec la signature de convention de mutualisation des équipes ou des équipements.
Moi, maire de Lorette, le dispositif sécuritaire sera renforcé notamment avec la création d’une équipe de nuit et d’un « vrai » centre de supervision urbain

Julien Lequeux avec S.B

Gérard Tardy et son équipe, des amateurs qui dépensent sans compter !

1,7 millions d’euros investis dans l’extension de la médiathèque, 1 maire et 3 adjoints largement indemnisés, et aucun qui n’est capable de répondre à une simple question sur la fréquentation du lieu.

Une question simple…restée sans réponse !

Sont-ils encore vraiment capables d’administrer notre commune ?

Lundi soir, comme l’évoque aujourd’hui le journal Le Progrès ( ICI ) un projet d’envergure était à l’ordre du jour. Celui consistant à créer une extension au bâtiment existant ( Médiathèque et ex restaurant Le Cédrat – Cantine Scolaire ) pour un coût de plus de 1,7 millions. Un projet qui allait bien au delà du programme sur lequel Gérard Tardy et son équipe ont été élu qui prévoyait uniquement un déménagement de la médiathèque à l’étage.

N’ayant pu obtenir plus d’éléments en amont de la réunion du conseil municipal sur le projet comme le souligne Le Progrès je ne pouvais donc poser mes questions que lors de la séance du conseil municipal.

Mais dès ma première question, pourtant particulièrement simple, ni le maire ni ses adjoints ayant une délégation en rapport avec le projet n’ont été en capacité de répondre.

Comme je l’ai dit en séance « c’est intolérable » et les Lorettois ne peuvent plus l’accepter.

Combien y-a-t-il d’adhérents à la médiathèque de Lorette ?

Réponse du maire : « Je ne sais pas »

Un investissement de 1,7 millions d’euros sans bilan, sans constat, sans connaissance de sa fréquentation

Pour rappel les élus sont très largement indemnisés pour assurer la bonne marche de la commune doivent un minimum s’investir dans les dossiers. Comme je l’ai démontré sur d’autres projets ce n’est pas le cas à Lorette.

AINSI

Gérard TARDY, Maire de Lorette depuis 33 ans, ne connaît pas la fréquentation de sa médiathèque ! Que doit on en penser ? Qu’il est en roue libre ? Très certainement…

INDEMNITÉS : 25 670 euros par an

Joëlle BONNARD, 3ème adjointe, chargée de l’enseignement, du pôle Jeunesse, de la culture, des animations est incapable de se prononcer sur la fréquentation de la médiathèque.

INDEMNITÉS : 10 268 euros par an

Joseph SEGUIN, 5ème adjoint chargé des travaux et qui présentait la délibération n’avait aucune idée du nombre d’adhérents de la médiathèque.

INDEMNITÉS : 10 268 euros par an

Evelyne VERGNAUD, conseillère municipale déléguée à la culture et à la Médiathèque ne connaît pas la fréquentation d’un lieu dont elle a pourtant la charge.

INDEMNITÉS : 2 567 euros par an

La culture dans une commune comme la nôtre est indispensable. Mais il n’est plus possible aujourd’hui de faire de la politique culturelle « à l’ancienne » dans « l’entre-soi ». Sans réfléchir au vrai besoin des utilisateurs.

Ici, à aucun moment les élus de la majorité ne se sont intéressés aux utilisateurs de notre médiathèque. Ils ne savent même pas combien ils sont, qui ils sont. Quelles sont leurs façons de « consommer » la culture.

Ce qui est pitoyable c’est que le contribuable paye un service de qualité qu’il n’aura pas. D’une part parce que les élus, largement indemnisés, ne sont pas suffisamment impliqués, mais aussi parce que l’extension d’un montant de 1,7 millions d’euros va être réalisé sans qu’à aucun moment ces utilisateurs ne soit interrogés.

Une hérésie totale !

Plusieurs d’entre vous fréquentent ou fréquentaient la médiathèque. Ils ont envie de donner leur avis mais ils regrettent de ne pas être écoutés. Alors ils préfèrent se diriger vers la médiathèque de Rive de Gier ou de Grand-Croix qui font partie du réseau itinérance des médiathèques du Pays du Gier. Lassez de ne pas être entendus par un maire qui a toujours refusé d’y adhérer pour je ne sais quelles raisons farfelues.

Moi maire de Lorette, aucun projet ne sera réalisé sans que les habitants ou les utilisateurs ne soient consultés.

Moi maire de Lorette, dès mon élection, la commune prendra son adhésion au réseau « Itinérances » et cessera d’être isolée.

Moi maire de Lorette, les ouvrages commandés correspondront aux attentes des utilisateurs.

Moi maire de Lorette, les jeunes et les adolescents auront accès à des animations et des ateliers liées aux nouvelles tendances culturelles qui suscitent leur intérêt, celle d’une nouvelle génération « digital natives » que la majorité ne connait pas et ne veut pas apprendre à connaître.

Moi maire de Lorette, l’équipe municipale sera pleinement investie. Chaque adjoint aura la responsabilité de sa délégation et devra se mobiliser avec rigueur et sérieux. Je ne tolérerai jamais que l’équipe majoritaire vienne en séance du conseil municipal sans avoir pris connaissance en amont du procès verbal ou de la note de synthèse comme c’est le cas aujourd’hui. Chaque adjoint dont la délibération est à l’ordre du jour devra l’avoir travaillé en amont et être capable de la présenter à l’assemblée en toute autonomie.

C’est comme cela que je vois la démocratie.

C’est comme cela que je vois notre de ville de demain.

Julien Lequeux / contact@libresdagir.fr

Vidéo-protection : Oui mais…

Une nouvelle fois la vidéo-protection était à l’ordre du jour du conseil municipal du 7 mars dernier.

Comme je le demandais depuis maintenant le mois de Novembre, le quartier limitrophe avec le secteur du Grand-Pont au niveau de la copropriété Le Bretagne ( entrée porte-est ) de la commune, qui a connu d’importants problèmes d’insécurité, ( incendies de voitures ) va ENFIN être équipé de 5 caméras. L’équipement des caméras du centre-ville sera aussi renouvelé avec des installations de meilleure qualité. Contrairement à Lorette Citoyenne, je pense qu’il s’agit d’une bonne décision.

Ce que je regrette c’est qu’il n’y a toujours aucun changement de politique sécuritaire du maire Gérard Tardy qui poursuit l’accroissement du système de vidéo protection de notre commune sans jamais envisager la création d’un centre de supervision urbain (CSU) avec l’embauche d’un policier municipal pour le gérer et qui, en lien avec les policiers en patrouille, pourrait prévenir tout acte de délinquance ou d’incivilité. La ville de St Paul en Jarez et son maire Kamel Bouchou ont prouvé récemment que cela était possible en prenant cette excellente décision ( ICI )

La seule installation d’un dispositif de caméras est un investissement onéreux pour le contribuable (56 700e) pour une efficacité que très relative.

Vous trouverez ci-dessous l’ensemble de mon intervention sur le sujet au conseil municipal du 7 Mars et ICI l’article du Progrès paru aujourd’hui samedi 12 Mars :

Julien Lequeux – Conseil Municipal du 7 Mars

Délibération numéro 8

Évidemment à la vue des derniers événements de Novembre et de ceux qui ont encore eu lieu le week-end dernier je ne peux qu’être pour le renforcement de la vidéo-protection au sein de notre commune car cela peut être l’une des solutions si elle est couplée à d’autres actions. Tout d’abord à une démarche de prévention, aujourd’hui inexistante dans notre commune, du fait de l’absence du CLSPD qui est à l’heure actuelle une coquille vide. Ensuite avec le renforcement de notre police municipale avec à minima un 3e policier municipal que vous êtes incapable de recruter depuis plus d’un an et demi.

Enfin, si équiper notre commune de toujours plus de caméras peut être une bonne chose – et encore faudrait il savoir ce que celles déjà en place ont apporté – il est certain, et les professionnels du sujet le disent, que la présence de caméras sans la création en parallèle d’un centre de supervision avec un agent à la main d’œuvre ne sert à rien !
Pourtant c’est bien ce que vous faites depuis maintenant plusieurs années…pour des résultats particulièrement médiocres puisque, comme nous l’avons vu, les actes d’incivilités, de dégradations, de violence se sont multipliés ces derniers mois. La faute de l’Etat qui comme d’habitude à bon dos.

Des propositions concrètes…

Moi, maire de Lorette, je recruterai deux agents supplémentaires au sein de notre police municipale avec la constitution d’une brigade canine de nuit et je créerai un comité (inter)communal de sécurité et de prévention de la délinquance dans le but de (co) construire ou de rejoindre un centre de supervision urbain commun avec les villes à proximité.

Prochain article à venir très prochainement : Gérard Tardy répète qu’il est impossible de recruter de policiers municipaux, pourquoi c’est faux.

Gerard Tardy, le parrain de Zemmour, refuse de se prononcer sur l’accueil de réfugiés Ukrainiens

Ukraine #solidarite #refugiés #lorette

Voilà la question orale à laquelle le maire #gerardtardy a refusé de répondre lundi soir au #conseilmunicipal : pas de collecte organisée par le #ccas , pas d’accueil d’Ukrainiens à l’heure où sont écrits ces lignes, une fois de plus le maire isole notre commune avec sa politique désastreuse

Vous avez la parole / épisode 3 – Massacre de 11 Chèvres à Lorette

« Beaucoup de bruit pour pas grand chose ? »

C’est en ces termes lapidaires que le maire de Lorette Gerard TARDY conclue son « AVIS aux manifestants du rassemblement du 5 janvier 2022 » devant la mairie,

Beaucoup de bruit pour pas grand chose ? Effectivement si la vie d’animaux domestiques ne vaut rien alors oui cela aurait pu passer sous silence.

Le hasard du calendrier est ironique.

La loi du 30 novembre 2021 visant a lutter contre la maltraitance animale et conforter le lien entre les animaux et les hommes est promulguée. Cette loi renforce les sanctions contre la maltraitance
des animaux domestiques. Un amendement transforme en délit le fait de donner la mort à un animal domestique.

Quelques jours plus tard, le 11 décembre 2021 monsieur le potentat autorise (sans arrêté municipal) l’abattage des chèvres, Le président de la société de chasse lorettoise Marvin CHIARAMONTE et ses acolytes s’exécutent et abattent un voire deux individus.

De quels crimes sont coupables ces chèvres pour subir un tel sort ?
De profanation de tombes et destructions de végétaux, voilà en quels termes Gérard Tardy justifie son action mortifère . Il prête des intentions profanatrices a des animaux qui ne font que se nourrir mais cela dans le mauvais endroit.

Effectivement, l agacement et la colère de famille de personnes reposant dans ce cimetière est compréhensible, Mais il faut toute raison gardée revoir cela à l’échelle d’un animal,
pourquoi se nourrissent elles dans ce cimetière ? Pourquoi sont elles divagantes, non identifiées ?
Les chèvres sont classées comme animal domestique donc non soumises à la réglementation encadrant la chasse.

Donc qui est le troisième larron laissant divaguer et se reproduire ses animaux non identifiés ? Celui ci est aussi coupable que les autres car il a permis enchaînement d’actions menant à la mort de pauvres victimes.

La mort comme seul réponse, comme seule solution ?

Rien a été fait pour que l’issue ne soit pas fatale pour les caprins,
Rien !
Aucune association de protection des animaux a été sollicitée pour les récupérer (trop compliqué à capturer dixit le chasseur), aucun grillage a été installé pour empêcher l’intrusion des animaux (trop cher).
Le sort des animaux survivants à la première salve est scellé par la prise d’un arrêté municipal en date 18 décembre autorisant l’abattage des chèvres profanatrices…et ce, sans aucune autorisation de la préfecture.

La colère et l’indignation des associations de protection des animaux gonfle et se repend. Le groupe de l’opposition se révolte aussi.
Presse, manifestations, pétitions, réseaux sociaux relayent l’affaire. Mais le constat est sans appel, onze chèvres mortes mais une seule à équarrissage ? Et les autres corps ?

Le maire de Lorette joue une large palette, allant de la victime de harcèlements ayant peur pour sa vie…à celle d’un homme de pouvoir jouant avec les mots. Des avis sont placardés a travers la petite ville, des publications calomnieuses fusent , visant le journal « le progrès », la préfecture, l’opposition, les animalistes.

Il est dans son droit, son bon droit et la loi c’est lui .Il règne en maître depuis plus de 30 ans sur sa ville et n’entendant pas en changer,

Sauf que….

Bien que pour lui cela est « beaucoup de bruit pour pas grand chose » la loi reste la même pour tout le monde MAIRE ou NON,

Plusieurs plaintes pour maltraitance animales ont été déposées de la part de différentes associations.

Le 6 janvier 2022, le parquet de St Étienne ouvre une enquête préliminaire suite à l’abattage des chèvres.
Le maire, le chasseur ont été entendus par la police.
Des qualifications pénales ont été retenues par le parquet (trois délits et une infraction contraventionnelle).

Souhaitons que ce méprisable personnage, son bras armé sans oublié le « propriétaire » seront punis et que cela serve de leçon.

La mort comme seule solution ?

Toute vie mérite le respect.

Alors pensez vous toujours Mr TARDY que c’est beaucoup de bruit pour pas grand-chose ?

Véronique Falzone

Conseillère Municipale déléguée à la condition animale, ville de Saint-Etienne, Conseillère Communautaire de Saint-Etienne Métropole, Co-Fondatrice de l’Association Anima

Tardy, le Zemmour Lorettois

Gerard Tardy s’est toujours présenté comme un élu sans étiquette. En 2020 aux dernières municipales il a encore été élu maire sans étiquette. Force est de constater que les électeurs ont été trompés puisqu’il soutient aujourd’hui un candidat d’extrême droite…après avoir en 2012 et 2017 parrainé Nicolas Dupont Aignan.

Gérard Tardy est aujourd’hui un élu qui embrasse ostensiblement les idées d’extrême droite et il semblerait que ce soit également le cas de l’ensemble de ses co-listiers, qui ne disent mots et qui consentent donc toutes les frasques de leur tête de liste.

À 83 ans, il dévoile enfin son vrai visage

J’aurais préféré qu’après ces actes de décembre et le massacre des chèvres il fasse acte de repentance et qu’il donne son parrainage au parti animaliste pour assurer une représentation pluraliste aux élections présidentielles. J’étais, à tort, bien trop optimiste.

Je note que le Maire déclare compter sur Eric Zemmour pour rétablir l’ordre en France. Pour ma part je regrette qu’il ne parvienne pas lui même à assurer l’ordre au niveau local. Comme nous avons pu le voir avec les événements du mois de Novembre dernier, qu’il n’a jamais condamné fermement, il se montre aujourd’hui toujours incapable de renforcer notre police municipale en recrutant un 3e policier ou encore d’engager un partenariat sur le thème de la sécurité avec les villes voisines comme l’on récemment fait les communes de la Grand Croix et de St Paul en Jarez.

Tardy cherche le buzz, il allume un contre feu en déclenchant une nouvelle polémique

Une fois de plus Gerard Tardy cherche le buzz et allume un contre feu. Il déclenche une nouvelle polémique en parrainant Eric Zemmour sans doute en partie pour faire oublier le massacre des chèvres qui a eu lieu en décembre et pour laquelle une enquête pénale est en cours et qui le vise directement.

Pour ma part je n’oublierai pas…tout comme je n’oublierai pas l’ensemble de ses attaques contre la démocratie locale, contre la République, contre les minorités et l’ensemble des mensonges qu’il propage sans cesse dans toutes ses communications ainsi que dans son outil de propagande qu’est le bulletin municipal, Le Kiosque distribué aux frais du contribuable.

Les Lorettois ne sont pas dupes. Vous êtes de plus en plus nombreux à me le faire savoir.

Un élu local vieillissant et aigri qui promeut les idées d’extrême droite

Aujourd’hui le fond de la pensée, haineuse et xénophobe, de Gérard Tardy apparaît au grand jour sans surprise pour beaucoup d’entre nous.

C’est celle d’un élu local, vieillissant et aigri, qui promeut les idées d’extrême droite en parrainant Eric Zemmour, non pas pour défendre le pluralisme politique, mais tout simplement parce qu’il partage ses idées nauséabondes qui n’ont qu’un objectif : diviser les français, fracturer la République que ce soit sur le territoire national ou local.

Aux plus jeunes, inscrivez-vous sur les listes électorales, faites vous entendre et ne laissez pas une minorité décider pour vous ! Un clic suffit :

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R16396

Pour aller plus loin, extraits d’un article très intéressant sur le livre intitulé « la langue de Zemmour » de Cécile Alduy, professeure à l’université de Stanford et chercheuse associée au Centre de recherches politiques de Sciences-Po (Cevipof) :

Article de Liberation paru le 18 Février 2022

Eric Zemmour construit une propagande par la peur qui doit susciter un «instinct de lutte» pour citer le grand analyste de la propagande soviétique et hitlérienne, Serge Tchakhotine.

Il s’agit de terroriser les électeurs par des descriptions de scènes de «guerre civile», passées, présentes, ou futures et créer ainsi un réflexe d’auto-défense contre des «ennemis» clairement identifiés. Cette vision du monde morbide et conflictuelle reflète un positionnement politique ultra-nationaliste et xénophobe, au sens propre de «peur de l’étranger» ou phobie de l’autre.

Eric Zemmour n’invente rien : il copie. Ses livres sont la paraphrase dans la forme et sur le fond d’un corpus d’extrême droite très classique

Sans le dire, Eric Zemmour ressuscite l’esprit premier du lepénisme : misogynie, homophobie, violence verbale, mépris pour la Constitution et les droits de l’homme et des minorités.

Les contradictions d’un maire en perdition !

Retrouvez en intégralité une vidéo de la question orale que j’aurai du poser en conseil municipal le 27 janvier dernier. Cela n’a malheureusement pas été possible, le maire n’ayant pas été en capacité de faire respecter le bon déroulé de la séance jusqu’à son terme. Une bonne façon pour lui de ne pas répondre à nos questions embarrassantes !

Ma question orale du 27 janvier 2022

Une battue aux chèvres organisée les 11-12 décembre sans cadre légal !

Avant la battue du dimanche 19 décembre reposant sur un arrêté « litigieux » du maire et finalement abrogé depuis le 27 décembre après l’abattage des 9 chèvres, un évènement est passé quasi inaperçu. Celui d’une première expédition punitive qui a eu lieu, d’après les déclaration du maire Gérard Tardy à l’AFP, le week-end des 11 et 12 décembre et qui aurait fait d’après lui l’objet d’un abattage « d’une chèvre et d’un bouc de 80kg » comme le reprenait un article de France Info ou encore celui du Progrès en date du samedi 18 décembre.

Capture d’écran de l’article de France Info basé sur une dépêche de l’AFP

Sollicités par les élus d’opposition qui souhaitaient savoir dans quel cadre cette première battue avait été organisée, le directeur général des services de la commune a transmis hier un mail à 15h51 avec seulement 3 arrêtés officiels pris par Monsieur le Maire Gérard Tardy. Le premier en date du 14, un second rectificatif en date du 23 décembre 2021, et enfin le dernier en date du 27 décembre (hier) qui abroge la battue qui courait jusqu’au 31 décembre 2021.

Il semble donc apparaitre qu’une semaine avant les faits principaux qui lui sont reprochés par près d’une dizaine d’associations qui ont déposé plainte contre lui mais également contre la société de chasse, le maire de Lorette aurait procédé à un abattage « illégal » sur aucune base juridique solide et sérieuse et en plein cimetière !

Une nouvelle fois, et comme nous avons déjà pu le faire dans le passé sur des sujets qui touche la démocratie et les valeurs républicaines, nous envisageons avec Amelle Gassa du groupe Lorette Citoyenne de nous unir et d’entamer une action devant les tribunaux pour qu’un tel acte soit condamné. Une fois encore Gérard Tardy n’est pas au dessus des lois…

Julien Lequeux – Conseiller Municipal d’Opposition

Crédit photo @Blandine Baudier La Tribune – Le Progrès